Lancement du Rési, le Réseau éducation, sexe et identité
Ça y est, le Rési a un site Web, ce qui consacre son lancement. Un communiqué de presse a été émis.
Ce réseau québécois veut rassembler des personnes préoccupées de la propagation dans les systèmes d’éducation et de santé québécois de ce qui est couramment appelé la « théorie de l’identité de genre » et des soins « affirmatifs de genre ».
Le Rési limite son action aux enfants, adolescents et jeunes adultes (jusqu’à 25 ans).
Le Rési n’est lié à aucun parti politique ni groupe confessionnel. Il ne fait la promotion d’aucune idéologie politique ni religieuse.
Chaque membre se joint de manière individuelle, s’il ou elle est en accord avec les principes et les missions du réseau.
Le Rési limite son action aux enfants, adolescents et jeunes adultes.
Le Rési invite à se joindre à son équipe toute personne qui partage les mêmes questionnements et préoccupations que nous, qu’elle soit parent, médecin, psychologue, sexologue, enseignant ou tout autre professionnel ou citoyen engagé.
Développement du site Web
Notre site Web sera enrichi, dans les prochaines semaines, d’articles, de références et de recherches. Comme le Rési a pour mission de questionner, d’obtenir des réponses et d’informer, notre site servira de centre d’information sur le sujet de la présence de la théorie de l’identité de genre dans nos milieux scolaires.
Les actions à venir
Dans les prochaines semaines et les prochains mois, le Rési questionnera les milieux de l’éducation ainsi que les milieux de la santé sur leurs directives et politiques. Il nous semble que des décisions, telle la modification de la définition de « sexe », sont prises sans bases factuelles ni données probantes.
Une première action du Rési : écrire à l’Organisation mondiale de la santé (OMS)
Début janvier 2024, le Rési s’est joint à d’autres groupes de parents et de professionnels dans le monde, ainsi qu’à la rapporteuse de l’ONU contre la violence faite aux femmes et aux filles, pour contester une initiative de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), car celle-ci est clairement biaisée. Suite à cette action, l’OMS a reculé et a admis que la recherche ne permettait par de conclure que les soins dits affirmatifs apportent des effets positifs dans le cas des enfants et des adolescents. Suite…