Ça y est, le Rési a un site web! Ceci consacre son lancement. Un communiqué de presse a été émis.

Ce réseau québécois veut rassembler des personnes préoccupées de la propagation dans les systèmes d’éducation et de santé québécois de ce qui est couramment appelé la « théorie de l’identité de genre » et des soins « affirmatifs de genre ».

Le Rési limite son action aux enfants, adolescents et jeunes adultes (jusqu’à 25 ans).

Le Rési n’est lié à aucun parti politique ni groupe confessionnel. Il ne fait la promotion d’aucune idéologie politique ni religieuse.

Chaque membre se joint de manière individuelle, s’il ou elle est en accord avec les principes et les missions du réseau.

Le Rési limite son action aux enfants, adolescents et jeunes adultes.

Le Rési invite à se joindre à son équipe toute personne qui partage les mêmes questionnements et préoccupations que nous, qu’elle soit parent, médecin, psychologue, sexologue, enseignant ou tout autre professionnel ou citoyen engagé.


Développement du site web

Notre site Web sera enrichi, dans les prochaines semaines, d’articles, de références et de recherches. Comme le Rési a pour mission de questionner, d’obtenir des réponses et d’informer, notre site servira de centre d’information sur le sujet de la présence de la théorie de l’identité de genre dans nos milieux scolaires.


Les actions à venir

Dans les prochaines semaines et les prochains mois, le Rési questionnera les milieux de l’éducation ainsi que les milieux de la santé sur leurs directives et politiques. Il nous semble que des décisions, telle la modification de la définition de « sexe », sont prises sans bases factuelles ni données probantes.


Des lanceurs d’alerte

Des chroniqueurs québécois ont, dans les derniers mois, alerté le public et les autorités (par exemple, Jean-François Lisée, Normand Baillargeon, Joseph Facal et Maria Mourani).

La toute nouvelle définition du mot « sexe » dévoilée en août 2023 par le gouvernement Legault, a été critiqué, notamment par François Chapleau, professeur en biologie émérite de l’université d’Ottawa. En effet, il semblerait que le sexe n’est plus une caractéristique biologique pour l’Éducation nationale, mais une « catégorie sociale ». Des phrases manifestement absurdes, comme : « le genre est assigné à la naissance », sont présentées comme une réalité…


Pensée du jour

Pour citer Normand Baillargeon, chroniqueur, enseignant (en philosophie et en science de l’éducation) et écrivain québécois : Les parents ont un droit de regard sur ce que l’école transmet à leurs enfants; la société, qui finance l’école, a droit à des citoyens éclairés. Les enfants ont droit à un avenir ouvert que le savoir transmis par l’école contribue à rendre possible. Il serait très facile, dans ce dossier complexe, de mettre sérieusement à mal tout cela et de nier des droits fondamentaux. Prudence. Non Nocere. Surtout, ne pas faire de mal aux enfants… (« Primum non nocere », chronique du samedi 9 et dimanche 10 septembre 2023, Le Devoir).

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